les grands pavots frôlent l'abstraction pour une toile qui sort déjà du figuratif et laisse planer l'imagination, dans des tons pastel simplement tachés du coeur noir des fleurs de misère.
effectivement, à cette époque j'aimais bien ces tons vert Véronèse, vert bouteille, mélangés avec du jaune de Naples et de la laque carmin de garance. Je partais aussi vers la recherche d'une certaine abstraction que j'ai perdue aujourd'hui mais qui pourrait bien revenir. Merci de vos compliments
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